samedi 17 octobre 2015

Geocaching, Piste des Cistes, chasse au trésor dans le Trieves autour de Monestier de Clermont

Le géocaching (ou geocaching) est un loisir qui consiste à utiliser la technique du géopositionnement par satellite (GPS) pour rechercher ou dissimuler un contenant (appelé « cache » ou « géocache ») dans divers endroits à travers le monde. Une géocache typique est constituée d’un petit contenant étanche et résistant comprenant un registre des visites et un ou plusieurs « trésors », généralement des bibelots sans valeur.
En 2013 il existe plus de deux millions de géocaches1, répertoriées dans 222 pays sur les différents sites web communautaires dédiés à ce loisir.

Sur Monestier de Clermont et dans le Trieves de nombreuses caches existent par geocaching ou par la piste des cistes. Pour une fois trieves gaming vous parle d'une activité ludique à faire en famille en extérieur. Car si comme nous, vos enfants ne veulent pas sortir et surtout ne pas marcher en forêt ou ramasser des champignons dans le Trieves. Vous allez enfin pouvoir vous baladez avec le sourir en proposant un jeu interactif.


NOTE : 9/10 enfin une promenade en famille
chasse au tresor trieves

chasse au trésor trieves

Historique

Le géocaching n'était pas possible techniquement avant la désactivation de la disponibilité sélective (selective availability) du GPS le 1er mai 2000. La première cache localisée par GPS et documentée fut placée le 3 mai 2000 par Dave Ulmer, originaire de Beavercreek, dans l'Oregon. Les coordonnées furent publiées sur le groupe Usenet sci.geo.satellite-nav2. Dès le 6 mai 2000, la géocache avait déjà été trouvée deux fois (et journalisée une fois par Mike Teage, originaire de Vancouver, au Canada).
Ce type de chasse au trésor était à l'origine appelé par ses premiers participants GPS stash hunt, ou gpsstashing. Après une discussion dans le groupe gpsstash du site web eGroups (en) (devenu par la suite Yahoo! Groups), Matt Stum suggéra geocaching à la place de stash (en français « butin », ou « planque »), qui pouvait avoir des connotations négatives3.
En 2000, Jeremy Irish, Elias Alvord et Bryan Roth fondent à Seattle la société Groundspeak, qui gère notamment le site web Geocaching.com, listant en septembre 2015 plus de 2 700 000 géocaches actives à travers le monde (un autre site web de la société, Waymarking.com, répertorie les caches dites virtuelles ou caches webcams). Ce portail ainsi que d'autres sites web dédiés au géocaching dans des pays spécifiques permettent aux participants de publier leurs trouvailles, leurs caches et d'organiser des rencontres. Geocaching.com permet également de suivre le déplacement de certains objets d'une cache à une autre, et publie également des caches dont les coordonnées sont uniquement visibles à ses abonnés payants (caches dites "premium"). La grande majorité des caches sont cependant accessibles à des abonnés dits "basiques" (inscription gratuite). Un abonnement, d'une trentaine d'euros par an, permet de disposer d'options facilitant le jeu (par exemple : téléchargement de grandes quantités de coordonnées de caches à injecter dans le GPS).
La popularisation et la démocratisation des récepteurs GPS portables depuis le milieu des années 2000, désormais vendus à des prix comparables à ceux des appareils photos numériques, a été essentielle à l'essor du géocaching.
Le passe-temps est pratiqué par de nombreux jeunes (parfois encadrés par un adulte dans le cadre d'une animation socioculturelle), mais aussi par des enthousiastes de la randonnée et des amoureux de la nature.
Dans les pays francophones, les participants sont généralement appelés des « géochercheurs » (ou « géo-chercheurs »), « géocacheurs » ou « géotrouveurs ». Il y aurait environ 6 000 000 de personnes pratiquant cette activité sur toute la planète[Quand ?].


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